La Ronde

Installation

Le dispositif se présente sur trois niveaux verticaux, chacun présentant un nombre varié de carrés de tissus de 20 cm x 20 cm suspendus par des fils à une structure fixée plus haut.

Le fond de l’installation est constitué de 24 carrés de tissus, comportant chacun un mouvement de danse pratiquée par trois femmes. Devant cette première mosaïque, 12 autres carrés sont suspendus, rassemblant une composition de collines et feuillages. Enfin, au premier plan est présenté un unique carré vierge, sur lequel s’anime le mouvement de danse décomposé quelques centimètres plus loin.

L’installation explore le rapport pesanteur/légèreté qui caractérise le minerais sous ses formes peu transformées (poudre et pellet).
Cette dualité est ici évoquée par le choix d’installation ainsi que la représentation d’un mouvement de danse.

Elle aborde également la notion de cycle ; celui des unités de production industrielle (mines, usines), autrefois lieux de labeurs, désormais colonisés par la végétation ou la créativité.
Ce cycle prend ici la forme d’une alternance entre paysage immobile et figures humaines au mouvement infini, tout à la fois joyeux pas de danse et sinistre ronde façon Le Clézio.

La Ronde

Installation

Le dispositif se présente sur trois niveaux verticaux, chacun présentant un nombre varié de carrés de tissus de 20 cm x 20 cm suspendus par des fils à une structure fixée plus haut.

Le fond de l’installation est constitué de 24 carrés de tissus, comportant chacun un mouvement de danse pratiquée par trois femmes. Devant cette première mosaïque, 12 autres carrés sont suspendus, rassemblant une composition de collines et feuillages. Enfin, au premier plan est présenté un unique carré vierge, sur lequel s’anime le mouvement de danse décomposé quelques centimètres plus loin.

L’installation explore le rapport pesanteur/légèreté qui caractérise le minerais sous ses formes peu transformées (poudre et pellet).
Cette dualité est ici évoquée par le choix d’installation ainsi que la représentation d’un mouvement de danse.

Elle aborde également la notion de cycle ; celui des unités de production industrielle (mines, usines), autrefois lieux de labeurs, désormais colonisés par la végétation ou la créativité.
Ce cycle prend ici la forme d’une alternance entre paysage immobile et figures humaines au mouvement infini, tout à la fois joyeux pas de danse et sinistre ronde façon Le Clézio.